Spectacle

Hémisphères

Venez découvrir les mystères du cerveau humain et les ressorts de ses biais cognitifs avec le nouveau spectacle de mentalisme de Benjamin Ghislain. Il vous a bluffés il y a quelques années dans nos murs avec son spectacle « Expérimental », venez continuer l’expérience surprenante avec « Hémisphères ».

Au travers de nombreuses expériences les plus étonnantes les unes que les autres, le mentaliste namurois vous propose une immersion totale dans les merveilleux méandres du fonctionnement du cerveau humain.

• Connaissez-vous les points communs entre un Rubik’s cube et notre cerveau ?
• Avez-vous déjà entendu parler des deux vitesses de notre système de pensée ?
• Connaissez-vous les techniques utilisées par les médias pour manipuler nos prises de décisions ?
• Savez-vous que la science a pu démontrer que nous étions capables d’interagir télépathiquement les uns avec les autres ?
• Vous êets vous djéa deamndé cmomnet notre ceeravu était cpabale de lire et de comeprndre aessz fcaieelmmnt cette pahrse ?

NON ?

Alors ne ratez pas « Hémisphères », le nouveau spectacle de mentalisme, amusant et participatif de Benjamin Ghislain.

UN SPECTACLE QUI VA TRES CERTAINEMENT VOUS BIAISER !

Scène ouverte - Le micro est à vous

Le micro est à vous – Participez au casting du Centre Culturel

Vous êtes musicien, slameur, rappeur, danseur, humoriste, comédien ou artiste de cirque ?
Que vous soyez débutant ou confirmé, le Centre Culturel de Saint-Georges vous ouvre la scène.
C’est l’occasion idéale de monter sur les planches, de partager votre passion et de faire vibrer le public.

Date et heure : mercredi 2 juillet à 13h
Lieu : Centre Culturel de Saint-Georges
Rue Albert Ier 18 – 4470 Saint-Georges-sur-Meuse

Infos et inscriptions :
Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
0470 53 16 25

Exprimez-vous, surprenez-nous, et surtout… amusez-vous. Le micro est à vous.

Le Roi se meurt

Une représentation exceptionnelle dans le parc du Château de Warfusée

 

Le roi se meurt d’Eugène Ionesco, adaptation et mise en scène de Janguy Lizin.

Après Cyrano de Bergerac, et le Portrait de Dorian Gray, voici la 3eme grosse mise en scène théâtrale de Janguy LIZIN. L’émotion sera d’autant plus forte qu’il a choisi un des classiques du répertoire, une fable intime et universelle :

Le Roi se meurt, (d’Eugène Ionesco). Emblématique du mouvement du théâtre de l’absurde, cette tragi-comédie créée en 1962 à Paris raconte en direct et en temps réel, l’agonie du Roi Bérenger.

 

Synopsis

Eugène Ionesco n’était pas à une pirouette près, Janguy Lizin non plus.

Il offre ainsi aux spectateurs un excellent moment de théâtre. Une adaptation aux dialogues modernisés, tout en gardant la trame de l’auteur. Il mêle la tragédie, le cynisme, le désespoir, l’espoir, en n’oubliant pas de dédramatiser par l’humour. Dès le début, les cartes sont abattues : le roi va mourir. Et après tout, il a assez vécu ce vieux monarque égoïste, égocentré et tyrannique, qui pendant son règne, a davantage pensé à lui et au court-terme plutôt qu’à son royaume. Cette chronique d’une mort annoncée mixe allègrement la terreur quand s’annonce la grande faucheuse et l’infinie espérance malgré tout du goût de vivre.

 

Une mise en scène originale, pleine de panache avec des mouvements dynamiques autour du trône. Sans oublier des éléments originaux, s’ajoutant avec finesse au sens de l’histoire.

 

C’est délicieux, tendre, touchant, drôle, et dynamique.

Une bien belle comédie, à voir absolument !

 

Distribution :

• Janguy Lizin
• Valérie Berckenbosch
• Delphine Hanot
• Thibaut Caelen
• Monique Dethier
• Laurence Logist

 

Le Roi se meurt

Une représentation exceptionnelle dans le parc du Château de Warfusée

 

Le roi se meurt d’Eugène Ionesco, adaptation et mise en scène de Janguy Lizin.

Après Cyrano de Bergerac, et le Portrait de Dorian Gray, voici la 3eme grosse mise en scène théâtrale de Janguy LIZIN. L’émotion sera d’autant plus forte qu’il a choisi un des classiques du répertoire, une fable intime et universelle :

Le Roi se meurt, (d’Eugène Ionesco). Emblématique du mouvement du théâtre de l’absurde, cette tragi-comédie créée en 1962 à Paris raconte en direct et en temps réel, l’agonie du Roi Bérenger.

 

Synopsis

Eugène Ionesco n’était pas à une pirouette près, Janguy Lizin non plus.

Il offre ainsi aux spectateurs un excellent moment de théâtre. Une adaptation aux dialogues modernisés, tout en gardant la trame de l’auteur. Il mêle la tragédie, le cynisme, le désespoir, l’espoir, en n’oubliant pas de dédramatiser par l’humour. Dès le début, les cartes sont abattues : le roi va mourir. Et après tout, il a assez vécu ce vieux monarque égoïste, égocentré et tyrannique, qui pendant son règne, a davantage pensé à lui et au court-terme plutôt qu’à son royaume. Cette chronique d’une mort annoncée mixe allègrement la terreur quand s’annonce la grande faucheuse et l’infinie espérance malgré tout du goût de vivre.

 

Une mise en scène originale, pleine de panache avec des mouvements dynamiques autour du trône. Sans oublier des éléments originaux, s’ajoutant avec finesse au sens de l’histoire.

 

C’est délicieux, tendre, touchant, drôle, et dynamique.

Une bien belle comédie, à voir absolument !

 

Distribution :

• Janguy Lizin
• Valérie Berckenbosch
• Delphine Hanot
• Thibaut Caelen
• Monique Dethier
• Laurence Logist

 

Blanc Manger Coco

Blanc Manger Coco – Le spectacle est une version scénique et complètement déjantée du célèbre jeu de cartes.
Les comédien·nes improvisent en direct à partir des cartes choisies par le public… pour une soirée drôle, absurde, et volontairement provocante.

 

? À l’entrée, chaque spectateur·rice reçoit une carte.

Ensemble, vous jouez une partie géante, où les meilleures (ou pires !) combinaisons donnent naissance à des scènes totalement improvisées, incarnées en live sur scène.

 

L’objectif ? Faire exploser les limites de l’humour, avec une bonne dose d’autodérision, de noirceur joyeuse et d’interactivité, dans un esprit 100 % second degré.

Les chiens qui ont la rage ne font pas long feu

Un homme à la rue, parle au nom des Sans-Voix, de celles et ceux qui battent le pavé. Ça tombe bien, pour une fois des personnes sont là, elles prêtent leurs regards et leurs oreilles. Dans sa logorrhée brûlante, il nous entraine dans son univers. Entre les maraudes du Samu, l’indifférence des passants, les regards qui réchauffent, il nous entraine à sa rencontre.

« Déjà les sirènes de police résonnent – tu sais ce qui me rend dingue ? C’est quand un péquenaud de parlementaire déboule sur le boulevard dans sa Mercedes Benz et paralyse la circulation, escorté par un escadron de motards, sirènes hurlantes au vent. Le monde entier doit s’arrêter pour laisser passer l’homme dans la berline aux vitres teintées. Son existence prévaut sur celle des autres. »

Le concept

Parallèlement à son activité artistique, l’auteur a travaillé avec une asbl d’aide aux sans-abris et c’est là qu’a germé l’écriture.

Dans ce seul en scène touchant et humain, l’acteur porte la voix de deux personnages : un homme brisé par le système et son frère.
L’écriture soignée et la parole presque musicale nous plongent au cœur de leur histoire.L’auteur nous rappelle avec humour et amour que personne n’est à l’abri de devenir Sans-Voix, et qu’il suffit d’un rien pour basculer de l’autre côté.

Audrey – Not Your Fair Lady

Après avoir connu le succès dans les grandes villes, un mini-empire rose s’installe désormais aussi dans les plus petites communes : la chaîne de boutiques Think Pink Shop, « là où nous faisons aussi de vous la femme parfaite ! »

À l’origine de ce projet ? Audrey, une femme d’affaires charismatique qui s’inspire plus qu’un peu d’Audrey Hepburn pour son apparence. La méthode de ses salons peut bien faire froncer quelques sourcils, mais cela ne semble déranger personne. Après tout, qui ne voudrait pas devenir une femme aussi parfaite qu’Audrey ?

Dans une brume de champagne rosé et de parfums sucrés, AUDREY – not your fair lady est un mélodrame moderne, inspiré par le phénomène hollywoodien – et bien plus encore – Audrey Hepburn. Avec du chant, de la danse, de l’humour et un tourbillon d’énergie féminine, le spectacle est à la fois une ode à Audrey Hepburn et une satire mordante de chaque nouvelle tendance qui impose aux femmes un idéal à atteindre.

Avec la talentueuse Lucie Hoellinger dans son premier grand rôle ainsi que Miss Belgique 2023 Emilie Vansteenkiste. Ce duo est assisté par 4 autres rôles secondaires, alternativement interprétés par Brenda Bussens, Eveline Carpentier, Annelies Delahaye, Yana Gommers, Anke Lion, Els Meulemans et Siel Van Grootel.

La représentation soutient activement « Think Pink » dans leur lutte contre le cancer du sein avec des infos et la vente d’un vinyle rose en exclusivité avec la représentation. Une version unique de ‘Moon River’ sera sublimée par le talent de Gala Dragot, ainsi que ‘Audrey’ par le Dave Brubeck Quartet et l’unique histoire derrière cette chanson, par le graphiste Paul Rogers seront disponibles.

Texte : Sam Brosens. Mise en scène : Aafke Bruining. Décor : Hannah Baudouin.

Une production de Moody Blue Productions.

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